Ce film questionne la place de l'être humain dans l'écosystème, à travers les yeux de deux jeunes militants pour le climat.

Beaucoup de gens réfléchissent actuellement aux conséquences du changement climatique. L’ourse polaire se rend compte qu’elle ne pourra pas résoudre ce problème toute seule. Mais en ayant une bonne idée, elle peut amener beaucoup de gens à adopter un autre comportement et à contribuer à endiguer le changement climatique.

Ce film illustre que nos sols ont le potentiel de stabiliser le climat de la Terre et ses écosystèmes ou même de les régénérer

« Plus chauds que le climat » est un film qui documente le mouvement de la jeunesse pour le climat en Suisse. À titre d’exemple, il dresse le portrait de cinq jeunes gymnasiennes et gymnasiens de Bienne actifs politiquement que l’équipe de tournage suit pendant un an. Ils ne font pas la grève à l’école comme dans le cas des « Fridays for Future » mais font connaître leurs messages dans le cadre de manifestations planifiées. En raison de la pandémie de coronavirus, le mouvement pour le climat focalise moins l’attention et doit se réorienter. Cette situation particulière se répercute aussi sur les jeunes et modifie leurs propos dans le film.

Neuf produits sur dix consommés en Occident proviennent d’outre-mer. Cela peut sembler absurde, mais c’est ainsi : les biens fabriqués à l’autre bout du monde sont souvent moins chers chez nous que ceux que l’on produit près de chez nous et que l’on transporte par la route. Et comme le fret aérien est beaucoup plus coûteux que le fret maritime, presque toutes les marchandises sont transportées dans le monde par voie maritime. Mais quel est le prix réel du transport maritime ? Quelles sont les figures clés de cette industrie mondiale ?

Notre consommation de vêtements a beaucoup augmenté au cours des quatre dernières décennies. Dans le même temps, les prix pour la mode bon marché ont régulièrement chuté. Le réalisateur Andrew Morgan a tourné un film sur le « vrai » prix de la mode. Pour cela, il a voyagé dans le monde entier, a assisté à des semaines de la mode à Paris et Londres et a visité des fabriques textiles au Bangladesh et en Chine. Où est fabriquée la mode à bas prix, quelles sont les conditions de travail dans ces fabriques?

Ces trois films explorent les mécanismes économiques sur trois continent, à l’ère de la mondialisation : à Sialkot, au Pakistan, de nombreux couseurs et couseuses de ballons de foot ont perdu leur emploi à cause de la mécanisation de la production et de sa délocalisation en Chine. A partir de l’exemple de la République Démocratique du Congo, on observe les rouages complexes de l’endettement. Victor Nzuzi, une personnalité engagée, illustre clairement, dans son langage imagé, les effets du colonialisme économique qui sévit subrepticement.

En novembre 2007, le cyclone dévastateur « Sidr » a apporté la mort et la désolation au Bangladesh. Ce film se focalise sur des personnes dont les bases de subsistance ont été anéanties par le cyclone et illustre le travail du Corps suisse d’aide humanitaire. Cette aide s’accompagne de mesures de prévention à long terme pour éviter que les gens ne perdent à nouveau leurs acquis économiques lors de la prochaine catastrophe naturelle.

Dans un clip musical créatif, le Genevois Jonas montre les interdépendances mondiales autour d’un produit typiquement suisse, le chocolat. Il y critique les conditions de travail dégradantes dans les plantations de cacao en Afrique de l’Ouest et en appelle à la responsabilité des fabricants suisses de chocolat et des consomma-teurs/- trices.

A Dandora, un bidonville de Nairobi, les montagnes de déchets se dressent vers le ciel. Ce film présente plusieurs idées de recyclage créatif. Les détritus permettent ainsi de produire du biogaz, du compost, des combustibles, des sandales. Les jeunes expliquent pourquoi ils trouvent cette initiative importante et bousculent notre vision de l’Afrique.